Le ministre de l’Intérieur expose les raisons de l’audience polémique.

La police a décidé de suspendre temporairement la couverture sécuritaire des combats de lutte. Une position réaffirmée ce vendredi à l’Assemblée nationale, par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Général Jean Baptiste Tine, après l’arrêté ministériel rendu dimanche à la suite de graves incidents survenus lors du combat entre Franc et Ama Baldé, le 16 février, à l’Arène nationale.

Chaque fois qu’il y a un combat de lutte, cela suscite des inquiétudes de la part de tous les chefs de famille et de la part de tout citoyen, c’est inacceptable. Face aux députés, il a exprimé son indignation face à cette situation inacceptable.

D’après L’Observateur, la tutelle a également fait part de l’audience polémique accordée à Aziz Ndiaye et son frère Baye Ndiaye, qui sont des promoteurs de lutte. Il est vrai que l’ancien chef de la gendarmerie nationale a été accusé d’avoir reçu ses derniers avant de discuter de cette question avec Malick Ngom et son équipe du Comité national de gestion (Cng) de la lutte.

Ce jeudi, ils ont essayé de se rapprocher du ministère de l’Intérieur. La porte n’est pas fermée. Nous les avons écoutés et nous leur avons fait savoir qu’il n’était pas possible de revenir sur cette décision pour l’instant. Elle est difficile à prendre, mais il fallait la prendre», a défendu le ministre.

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